En d’autres mots, aucun autre cépage ne peut être utilisé pour produire un Cour-Cheverny et le Romorantin ne peut être utilisé dans aucune autre appellation. Pour la petite histoire, ce cépage rare fut importé de Bourgogne par François 1er, qui en planta près de 80 000 pieds sur la commune du même nom en 1519, pour sa mère Louise de Savoie. Propices à l’épanouissement du Romorantin, les sols argilo-silicieux de Sologne permettent aux vins de l’appellation AOC Cour-Cheverny d’acquérir des saveurs singulières recherchées par les connaisseurs. Un plaisir que vos papilles ne bouderont pas dès la première gorgée de La Grand’Vigne !